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Photo du rédacteurThierry Bardy

Huit acteurs français de la Digital Workplace s’unissent pour proposer une alternative souveraine à

Cette semaine j’attire votre attention sur l’ information n°1 qui témoigne d’une partie des impacts de l’insécurité numérique croissante sur le système de production des entreprises

Philippe Clément

Senior Advisor for Strategic Innovation


Le phénomène est connu depuis 2014, l’année où une attaque informatique a partiellement détruit une usine métallurgique allemande. Il n’est donc plus question seulement de piratage de données ou de nuire à la réputation d’une entreprise, cette fois le moyen de production et la vie des employés sont à risques. Et les patrons de ces entreprises pourraient bien être tenus pour responsables des dommages… (CPS : Cyber-physical systems)

Intention louable s’il en est que cette initiative d’entreprises françaises pour proposer des alternatives logicielles à la suite toute-puissante de Microsoft. Les premiers avantages concernent tout d’abord la souveraineté des données qui y circulent : serveurs européens, donc en dehors de l’épée de Damoclès du Cloud Act américain. Cette loi extra-territoriale des Etats-Unis leur permet en effet de « se servir » dans les données gérées par les entreprises de droit US, même en dehors de leur sol. Ensuite, cette association d’entreprises sont totalement assujetties au régime fiscal français, évitant ainsi les déboires rencontrés avec les GAFAM dans leur expertise d’optimisation fiscale. Enfin, ces entreprises ont choisi un modèle de développement favorisant leur indépendance capitalistique, gage de partenariat pérenne avec des services de l’Etat.

Depuis la première annonce en 2017, Tesla a continué à s’activer sur son camion électrique. Aujourd’hui, la firme d’Elon Musk commence à installer des méga-chargeurs d’1MW (la puissance d’une éolienne à peu près) près de sa mega-factory du nevada. La promesse d’une autonomisation du véhicule sur de grandes distances de type autoroutes fait réfléchir tous les gros transporteurs routiers devant composer avec les facteurs humains (coût, charge de travail…) alors qu’un camion autonome pourrait en théorie fonctionner H24.

Le gaspillage touche tous les pans de notre société, y compris le domaine professionnel. Mais connaissiez-vous le gaspillage de licences Microsoft ? Ce publi-reportage de la société Capefoxx, spécialiste de la revente de licences nous éclaire sur la légalité (reconnue par la cour européenne) de la revente de licences de logiciels, encadrée bien évidemment sur le plan juridique. Lorsqu’un ordinateur part en recyclage, lorsqu’une entreprise se scinde ou qu’elle fusionne, lorsqu’un datacenter fait évoluer ses clusters se posent les questions de l’achat/réutilisation/revente de ses licences logicielles.


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