Cette semaine j’attire votre attention sur l’information n° 2, où l’on découvre que les territoires reprennent une partie de leur autonomie en matière d’énergie durable sous la forme de coopératives. Celles-ci sont animées par des citoyens qui présentent l’ambition d’être acteurs de la transition énergétique.
Des fleurons nationaux sensibles sont de plus en plus touchés par des attaques destructrices, fomentées par des groupes de pirates très bien organisés et financés parfois par des États. Ici, une compagnie gérant un oléoduc transportant du carburant du sud au nord des US a été attaquée par un rançongiciel (ransomware) bloquant de fait le système général de son contrôle et de sa gestion. Nous ne reviendrons pas sur la facilité avec laquelle ces pirates envahissent puis détruisent ces systèmes de production d’une entreprise. Pour l’instant, ces attaques semblent viser des compagnies précises et génèrent déjà énormément de désorganisation. On ne peut s’empêcher d’imaginer ce que serait une attaque combinée visant l’électricité, le carburant, l’eau et les communications, et ses impacts immédiats sur la population et le pouvoir exécutif.
Même si le mouvement est encore loin de faire l’unanimité, l’ambition de produire de l’énergie locale progresse chez les citoyens. Des coopératives d’énergie renouvelable voient le jour, autogérées par des particuliers ou des citoyens. Elles remplacent à leur niveau local une bonne partie de l’énergie nationale par de l’énergie verte produite localement. Ils ne sont qu’un million au niveau européen mais comptent bien agir à part entière sur la transition énergétique.
Les militaires considèrent avec beaucoup d’attention ces nouveaux moyens d’attaque ou de défense qui ne nécessitent plus d’avoir des hommes sur le terrain. Les drones, dont on a pu voir un exemple d’organisation remarquable pour une démonstration spectaculaire dans le ciel de Shanghai peuvent être désormais embarqués dans des annexes autonomes, programmés ou guidés vers des cibles précises et multiples.
Fidèle à son engagement notamment au travers de sa RSE, Orange se place en Afrique comme un promoteur d’équipements d’énergie solaire pour ses installations. 5400 sites sont ainsi équipés partiellement ou totalement et permettent déjà à l’opérateur d’économiser 55 millions de litres de carburant chaque année.
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